Après une année boursière catastrophique, les marchés actions ont connu un très (trop ?) bon début d’année, le CAC 40 débutant à 6 595 points avant de rebondir à la faveur d’un net retour « d’appétit » des investisseurs pour s’établir en fin de mois à 7 082 points (sur les niveaux de mi-Février 2022 !).
A l’exception des secteurs technologique et santé encore en retard, les opérateurs aux USA et en Europe ont cherché à se renforcer tout à la fois sur les valeurs croissance (luxe, consommation discrétionnaire, etc..) mais aussi sur celles de rendement (banques, industrielles, distribution, opérateurs télécom, etc..).
Aux USA, les premiers résultats trimestriels du T4 2022 se sont révélés plutôt solides pour des sociétés telles : MICROSOFT, VISA, UPS, NETFLIX, SCHLUMBERGER,AMERICAN EXPRESS, GENERAL MOTORS ouJOHNSON & JOHNSONmême si d’autres ont été plus décevants (notamment victimes des pressions inflationnistes et/ou d’un dollar fort) comme pour : BANK OF AMERICA,BOEING, INTEL, MC DONALD'S, CITIGROUP, PROCTER & GAMBLE, WELLS FARGO, CHEVRON,GOLDMAN SACHS, 3M ouJP MORGAN.
En Février, les marchés financiers devraient être influencés à nouveau par : les indicateurs d’inflation de part et d’autre de l’Atlantique et les réponses des banques centrales, les données macro-économiques (récession ou pas ?), les derniers résultats des entreprises américaines puis européennes pour le T4 sans oublier le rebond du prix du baril de pétrole et les mouvements sur les parités de change (£, €/$, etc…).