En Juillet les investisseurs ont quelque peu retrouvé le sourire avec les premières publications de sociétés moins mauvaises qu’anticipées, la volonté affichée des banquiers centraux de lutter contre l’inflation et le sentiment que son pic n’est peut-être plus trop éloigné, du moins aux USA.
A l’arrivée, le CAC 40 débutant à 5 931 points s’établissait en fin de mois en hausse à 6 449 points dans des volumes réduits toutefois du fait de la période estivale.
Sur le « front » macro-économique on peut relever des indicateurs américains (confiance du consommateur, ventes au détail baisse du taux de chômage, etc..) et européens (indices d’activité, confiance des ménages, etc..) s’affichant en toujours en repli victimes de l’impact de la forte inflation mondiale, alors qu’en Chine le rebond économique se confirme.
Les marchés actions étant particulièrement chahutés depuis le début d’année les premières publications et/ou anticipations pour le T2 étaient très attendues de part et d’autre de l’Atlantique.
Certaines, véritables baromètres de l’état de santé de l’économie américaine, se sont révélées positives ou moins « mauvaises » qu’attendues comme pour :CITIGROUP, SCHLUMBERGER,GENERAL ELECTRIC,WELLS FARGO,APPLE,GOLDMAN SACHS,MACDONALD'S,TESLA ALPHABET (ex GOOGLE), MICROSOFT,AMERICAN EXPRESS ou AMAZON mais plus décevantes pour: IBM,PROCTER&GAMBLE, JP MORGAN, META (ex FACEBOOK), WALMART, INTEL, JOHNSON & JOHNSON, MORGAN STANLEYou GENERAL MOTORS.
En Europe les trimestriels étant publiés plus tard, seules quelques sociétés ont communiqué positivement mais pas toujours bien reçu boursièrement, comme pour: UNILEVER,VINCI, BNP,LVMH,ROCHE HOLDING,NEXANS,SARTORIUS STEDIM, DANONE, KERING, NESTLE,ASML, AIR LIQUIDE,TELEPERFORMANCE,DASSAULT SYSTEMES,TOTAL ENERGIES, ESSILOR, HERMES, L’OREAL, SCHNEIDER ELECTRIC ouPLASTIC OMNIUM et plus négativement pour: SEB, RICHEMONT, SAP, VIVENDI, MICHELIN, FRESENIUS, RENAULT ou EUROFINS SCIENTIFIC par exemple.